Dans le cadre d'un dossier judiciaire en cours où mon nom était par plusieurs fois cité, l'information suivante m'est parvenue. Au moins un salarié protégé de la SNRH serait parvenu début Août - par une cellule en charge du contrôle au ministère du travail -à faire annuler son autorisation de licenciement prononcée en début d'année par l'inspectrice du travail du Havre.
Un second délégué aurait, semble t'il, conduit la même démarche.
Cette annulation d'autorisation de licenciement se fonde principalement sur les 2 motifs suivants :
-1/ irrespect du délai de 5 jours mini entre la présentation de la convocation à l'entretien préalable au licenciement et l'entretien lui même
-2/ les recherches de reclassement en interne du salarié par KOTUG n'auraient pas été menées de façon suffisante et sérieuse.
Si cette procédure de licenciement du personnel protégé, conduite par la liquidatrice, a été la même pour tous, on peut imaginer que les autres membres du CE pourraient donc de la même façon se plaindre "d'irrégularité de licenciement".
Le délire continue, MDR.