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7 janvier 2016 4 07 /01 /janvier /2016 18:14
Voeux 2016 et Joint Venture

Bonne et heureuse année 2016 à tous.

Pour moi ça devrait l'année d'un nouveau changement professionnel, vive les nouvelles aventures !!

Il s'en passe aussi de pas mal chez nos amis hollandais avec un rapprochement entre SMIT et KOTUG qui nous vaut un beau ZP kotuguesques en news du jour sur Mer & Marine.

Visez plutôt (Source Mer et Marine):

Les sociétés néerlandaises de remorquage Smit (groupe Boskalis) et Kotug viennent de finaliser la création d’une cosociété baptisée Kotug Smit Towage, dans laquelle elles ont une participation de 50% chacune. Celle-ci va aligner une flotte de 65 remorqueurs portuaires dans 11 ports européens (Belgique, Pays-Bas, Royaume-Uni et Allemagne). La nouvelle joint-venture devrait générer un bénéfice de 150 millions d’euros.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 14:01

Youpee, KOTUG s'implante en Asie !!

Lancement le 1er novembre dernier d'une filiale KOTUG Asia Sdn. Bhd dans le port Malaysien de Tanjung Pelapas avec les RT Claire et RT Stéphanie.

Nos petites filles Kooren partent sous de lointains horizons...quelques années après leurs belles manœuvres pour la SNRH dans le port du Havre.

have fun girls ! (ce sont peut-être des ladies maintenant, time flies !)

L'intégralité de cet article se trouve dans la newsletter de Tugs, Towing & offshore news.

~~KOTUG ASIA MAKES STRONG DEBUT IN MALAYSIA WITH SOPHISTICATED ROTORTUGS®

With effect from November 1st, 2015 KOTUG Asia Sdn. Bhd. commenced towage activities with its powerful Rotortugs in the port of Tanjung Pelapas (PTP) Malaysia. KOTUG Asia started its operations with two powerful 65 tons bollard pull Rotortugs, RT Claire and RT Stéphanie in PTP delivering innovative, efficient and safe 24/7 operations supported by local Malaysian management and experienced crew. KOTUG Asia is able to rapidly expand its fleet with more powerful tugboats.~~As a sustainable towage operator and tug owner, KOTUG Asia will be engaged in Malaysian harbour and terminal towage, coastal & deep sea towage, emergency response & salvage operations, assistance to offshore, ship to ship operation services and the provision of training in relation to the crew on maritime craft.

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 13:15

Justice. Le tribunal administratif de Rouen n’a pas reconnu de préjudice lié aux pertes d’agréments de l’ex-société de remorquage.

La compagnie SNRH était placée en liquidation judiciaire en janvier 2011. Plus de 4 ans après avoir vu ses navires quitter les quais havrais, et à nouveau dans un contexte de libéralisation des services portuaires la Société nouvelle de remorquage du Havre (SNRH) a vu la requête indemnitaire (2,3 M€) de sa liquidatrice rejetée par le tribunal administratif de Rouen.

Me Béatrice Pascual demandait ainsi de condamner le Grand Port Maritime du Havre à lui verser la somme de 1 210 069 euros en réparation du préjudice résultant de la suspension puis du retrait (le 18 août 2006) de l’agrément délivré le 25 juillet 2005 par le Port Autonome du Havre pour exercer l’activité de remorquage.

Elle demandait par ailleurs que l’État lui verse la somme de 1 115 886 euros pour le rejet des demandes de visas présentés pour cinq remorqueurs. Constituée en 1998 et débarquant en 2004 sur Port 2000, cette compagnie, filiale française du néerlandais Kotug, avait tenté de concurrencer les Ex-Abeilles (société rachetée par Boluda), donc de casser une situation de monopole identique sur l’ensemble des ports de France. Faute d’agrément valable et durable au moment de l’exploitation, difficile de se battre à armes égales et d’honorer certains contrats... Annulations par décisions de justice succéderont ainsi jusqu’en 2010 aux retraits et refus (notamment de l’utilisation commerciale d’un cinquième remorqueur). Un imbroglio judiciaire à l’origine, selon la liquidatrice, d’un manque à gagner sur lequel repose le calcul de cette indemnité réclamée et escomptée par les créanciers et les 73 ex-salariés de la SNRH.

Requête rejetée par le tribunal administratif décidant en outre que le Me Pascual versera 1 000 € au GPMH de frais de justice. L’instance considère que « l’existence même des préjudices liés à la perte de son chiffre d’affaires n’est pas établie (...) que Me Pascual n’est pas fondée à soutenir qu’elle justifie d’un préjudice au titre de la période du 31 juillet (date de suspension de l’agrément de 2005) au 19 octobre 2006 (reprise de l’activité) ».

Article du Paris-Normandie

http://www.paris-normandie.fr/detail_article/articles/4434712/port-du-havre--pas-d-indemnisation-quatre-ans-apres-la-liquidation-de-la-snrh#.VkSSjK2FPIU

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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 09:42
Le remorquage toujours d'actualité

Bon, on dirait que ça re-bouge ces temps-ci. Les vieux démons ressortent sur le devant de la scène (Seine?) et comme un goût de déjà vu dans les argumentaires (service public, sécurité). Pas folle la guêpe : ça a bien réussi aux pilotes, alors pourquoi pas aux remorqueurs ?

Bref, voici l'article du jour glané sur les incontournables de Mer et Marine...

Rien de bien neuf sous le soleil, si ce n'est cette pseudo grande nouvelle : le ministre s'est saisi du problème.

Bon ce n'est pas une première, ces prédécesseurs n'avaient pas manqué de faire la même chose il y aura 10 ans cette année....Se saisir d'un problème ne veut pas dire le résoudre et on peut compter sur les ministres pour nous le rappeler.

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« On ne comprend pas trop pourquoi, dans ce projet de règlement européen portuaire, il n’y a plus que nous, les remorqueurs et les lamaneurs, à être concernés ».

Benoît Auradou est capitaine chez Boluda au Havre et secrétaire du comité d’entreprise. Depuis quelques semaines, lui et ses collègues se sont plongés dans les arcanes du très complexe processus législatif européen. Au cœur de leur attention, le projet de règlement « établissant un cadre pour l’accès au marché des services portuaires et la transparence financière des ports ». Un texte serpent de mer, que la Commission a mis sur les rails en 2013 et, qui, depuis, stationne au Parlement européen. Son objet exact est un peu difficile à appréhender, mais il vise principalement à appliquer les principes de droit européen de la concurrence aux différents services portuaires. « Une concurrence libre et non faussée, sans discrimination. Au regard des textes européens, le fait, pour un port français, de demander un service sous pavillon national est déjà une discrimination », soupire Benoît Auradou.

Des conditions de service relevant de règles nationales :

Le texte, qui est actuellement en examen devant la commission Transports du Parlement européen, pourrait mettre fin aux conditions actuelles de l’exercice du service de remorquage, dont l’encadrement relève encore largement des autorités nationales et qui aménage des conditions spécifiques de pavillon et d’armement, notamment liées aux différentes missions de service public réalisées par les remorqueurs. En France, il est soumis à différents textes : son exercice est ainsi défini dans les règlements de police portuaire et encadré par des arrêtés préfectoraux qui donnent les règles minimales locales de l’agrément. Ces dernières définissent notamment le nombre de coques qui doivent être disponibles dans chaque port, pour pouvoir, à côté de la mission commerciale, assurer différentes missions de service public. Réquisition ou pré-positionnement par l’autorité portuaire pour la sécurité des navires en escale, lutte contre les incendies, intervention sur des accidents sur ordre du préfet de région ou encore sécurité du littoral dans le cadre des contrats avec la préfecture maritime, qui permet la mobilisation pour intervention au large.

Une mission quotidienne de service public

« Cela fait partie de notre métier. Dérader une bouée, récupérer un conteneur tombé à l’eau, se mettre à disposition du Dragon de la Sécurité Civile pour des exercices d’hélitreuillage, se pré-positionner avant l’écluse François 1er en cas de coup de vent, parce que l’on sait qu’on peut vite devoir partir en assistance... tout cela c’est un savoir-faire, des entraînements régulièrement que nous faisons volontiers, même sans être rémunérés, parce que nous sommes conscients de faire partie de cette mission de service public de sécurité portuaire ». Dans le cadre de ces contrats publics, les remorqueurs peuvent être réquisitionnés à tout instant. « C’est un système qui marche bien et qui ne coûte rien à l’Etat. Si nous arrêtons d’effectuer cette mission dans le cadre de nouvelles conditions de concurrence, il va falloir toute une flotte de bateaux spécialisés pour nous remplacer. Et ce sera très cher ». Si Benoît Auradou et l’ensemble des syndicats mobilisés sur la question insiste sur cette mission de service public, c’est que ce sera sans doute le meilleur moyen de faire sortir le remorquage du champ d’application du règlement. C’est ce qu’ont ainsi obtenu les pilotes, qui ont bénéficié de la validation de leur monopole de fait en justifiant de leur concours à la sécurité portuaire. Le dragage, les dockers et les services aux passagers ont également été exclus du spectre du règlement, laissant une impression de coquille vide et surtout d’injustice en particulier aux remorqueurs.

Armer à trois marins ne peut pas se faire partout

« Je crois qu’il est aussi important d’expliquer aux autorités européennes qu’on ne peut pas tout harmoniser. Ce qui est valable dans les ports du Nord ne l’est pas forcément ici », reprend Benoît Auradou. Rotterdam, Hambourg, Anvers… les grands ports du Nord sont des ports fluviaux dans lesquels les remorqueurs manoeuvrent le plus souvent à l’abri. « On est loin des conditions que nous pouvons rencontrer devant Antifer en hiver, que nos collègues de Dunkerque ou de Marseille connaissent quand ils doivent éviter à l’extérieur des digues ou ceux de la Rochelle qui travaillent dans le pertuis », constate Benoît Auradou. Dans ces grands ports du Nord, il n’est pas rare de voir plusieurs compagnies de remorquage et des bateaux armés à trois marins, là où en France, la décision d’effectif est de quatre navigants. « Il faut bien comprendre que, là encore, la situation est difficilement comparable. Quand tout va bien, que le plan d’eau est calme, on peut être trois sur le bateau. Mais dès que les conditions se gâtent, qu’il y a une alarme à la machine, un problème lors du passage de la touline, cela devient tout de suite tendu. Et, encore une fois, dans nos conditions nautiques, qui impliquent des transits longs et des interventions en pleine mer, ce genre de situation n’est pas rare ».

Le ministre s’est saisi du problème

Le texte du règlement pourrait être présenté au vote du Parlement européen d’ici la fin de l’année. Les syndicats ont décidé de se mobiliser pour faire entendre leur voix auprès de la classe politique, « dont on a un peu de mal à comprendre le peu de réaction ». Une réaction récente devrait quand même remettre un peu de baume au cœur des marins puisque le secrétaire d’Etat aux Transports, Alain Vidalies, vient de leur écrire. Après avoir rappelé l’attachement de la France au principe de l’exclusion du remorquage du règlement, il a précisé qu’il s’engageait à défendre, quoiqu’il arrive, les « spécificités des services portuaires français de manière à ce que le principe de libre accès au marché soit compensé par la possibilité de fixer des exigences minimales et des obligations de service public » aux compagnies de remorquage. Il a également précisé qu’il militerait pour « la nécessité de laisser la possibilité aux autorités portuaires de limiter le nombre de prestataires de services » et ce notamment au vu des conditions de trafic portuaire. Le texte, qui relève de la codécision, pourrait être examiné par l’assemblée plénière du Parlement européen dans les semaines à venir. Des amendements pourront être déposés avant le vote. Le projet de règlement effectuera ensuite la navette vers le Conseil où il pourra à nouveau être modifié, ouvrant la possibilité d’un trilogue entre la Commission, le Conseil et le Parlement européen. La route est, donc, peut-être encore longue.

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8 octobre 2015 4 08 /10 /octobre /2015 11:10

Pour les studieux qui veulent creuser le sujet, un dossier format PDF intéressant :

http://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/BRIE/2014/542138/EPRS_BRI(2014)542138_REV1_FR.pdf

Ainsi que, pour ne pas paraitre vouloir les baillonner plus que de raison, voici la lettre ouverte des syndicats à K.K. contre la modification du règlement européen des services portuaires :

http://sncnmm.org/resources/2015%2010%2002%20Lettre%20ouverte%20%C3%A0%20M%20Knut%20Fleckenstein%20Lib%C3%A9ralisation%20du%20remorquage.pdf

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8 octobre 2015 4 08 /10 /octobre /2015 10:52
Comme un air de déjà vu...

Les syndicats du remorquage s'inquiètent... La suite sur Mer et Marine si vous avez la chance d'être abonnés. Moi je n'ai le droit qu'à ces quelques lignes d'appât :

"Le règlement européen sur les services portuaires est actuellement en examen devant la commission des transports du Parlement européen. Proposé il y a déjà plusieurs années par la Commission européenne, il a fait l’objet de nombreux débats, notamment sur la question de la libéralisation de certains services portuaires. Les pilotes, après une bataille de longue haleine, ont obtenu l’exclusion de leur service du champ d’application du projet de règlement au titre de leur mission de service. Ce qui signifie, concrètement, que le pilotage ne peut être soumis à concurrence...."

Mais après avoir un peu cherché via google, la suite de l'article m'est apparue (merci www.marinas-yachting.fr) :

Une exception dont les remorqueurs aimeraient, eux aussi, bénéficier. « Le pilotage, le remorquage et le lamanage sont des acteurs indissociables pour la sécurité portuaire », écrit ainsi la CFE CGC à Knut Fleckenstein, rapporteur du projet au Parlement européen. « En effet, ils sont les premiers à intervenir et à connaître l’environnement portuaire des plans d’eau. Ils sont techniquement indispensables et complémentaires pour intervenir et mettre les navires en sécurité en cas d’avaries, d’incendies ou de pollution (…) En conséquence, pourquoi n’appliquez-vous pas la même reconnaissance à tous les secteurs concernés ? », s’interroge le syndicat.

« Ce projet de règlement ne concerne finalement plus qu’une minorité des acteurs portuaires en laissant de côté la manutention du fret, les navires à passagers, le dragage et le pilotage. En quoi les motifs d’exclusion de ces services portuaires ne seraient-ils pas applicable au secteur stratégique du remorquage ? », poursuit la CFE-CGC.

La CGT, de son côté, s’est inquiétée de la situation dans une lettre au Président de la République. « Le remorquage portuaire est un maillon essentiel de la sécurité, nous voulons défendre et protéger une profession qui forte de ses compétences garantit la sureté de nos ports et de notre littoral. Nous ne pouvons accepter un changement qui ouvrira le champ au dumping social, aux pavillons de complaisance qui dépendent d’états dont la réputation en matière de transparence financière est plus que douteuse ».

Le projet de règlement pourrait aboutir à la fin de l’année.

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A la SNRH, aurions nous eu tort d'avoir raison trop tôt ?

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30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 10:38

Par Thibaut De Jaegher - Publié le 25 mars 2015, à 07h11 | L'Usine Nouvelle n° 3416

Comme on le souffle souvent sur le ton de la boutade, le premier port français n’est ni Le Havre ni Marseille, mais Anvers. Cette maxime est évidemment trop caricaturale pour être parfaitement exacte mais, comme toute maxime, elle recèle sa part de vérité. La position dominante du port belge sur une large partie nord de notre pays révèle en creux une faille dont presque personne ne parle : la France n’a pas su faire émerger de grand port sur son littoral. En Europe et a fortiori dans le monde, notre pays est un Petit Poucet au pays des conteneurs. L’essentiel des volumes marchandises (conteneurs ou vrac) passe par l’Europe du Nord : Rotterdam, Anvers, Hambourg, Bremerhaven. Ces quatre ports confisquent à eux seuls près de 89 % du trafic européen ! Le leader français, Haropa, le port du Grand Paris regroupant Le Havre, Rouen et Paris, ne capte que 6 % du marché. Marseille, malgré sa position géographique stratégique sur la Méditerranée et la route de l’Asie, arrive encore plus loin derrière.

Est-ce grave, docteur ? Un peu, oui. Toutes les grandes économies du monde, toutes les capitales économiques mondiales, celles qui réussissent à exporter une part conséquente de leurs productions disposent d’un port puissant. C’est d’ailleurs une loi historique et intangible des économies florissantes, de la Venise d’hier à la Chine d’aujourd’hui. Pour s’en convaincre, il suffit de se replonger dans le livre de Jacques Attali, « Une brève histoire de l’avenir », paru en 2006, où l’auteur, dresse le portrait-robot de ces villes-mondes. À sa lecture, on comprend que, pour la France, la faiblesse de nos ports est clairement un handicap. Un handicap d’autant plus criant que nous avons la première façade maritime d’Europe !

Il est d’ailleurs étonnant de voir que l’on ne parle jamais de nos ports quand on se lamente du déficit commercial français ou de la compétitivité de notre pays. Le sujet des ports et de leur développement dépasse pourtant le cadre des seules autorités portuaires. Ce n’est pas qu’une histoire de docks mais aussi d’infrastructures, notamment logistiques, et de volonté politique. À l’heure où la France tente de se réindustrialiser, il faut qu’elle prenne conscience qu’il n’y a pas de grand pays industriel qui ne soit pas aussi un grand pays portuaire.

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 18:28

Bouh il est mille fois trop tard mais il reste suffisamment de jours en 2015 pour que je vous souhaite que le reste de l'année soit joyeux, festif, heureux et j'en passe....

La pub s'est définitivement installée sur ce blog et ajouter de nouvelles publications n'y fera hélas rien, seul le paiement d'une redevance à la plateforme Overblog nous dispenserait des pubs à la con genre "comment maman a perdu ses rides" et "maigrir en mangeant 15 bananes par jour" etc.

Bref cette sympatique plateforme autrefois gratuite et sans pub ne l'est plus...Alors il faudra faire avec ou passer son chemin.

Je vais finir par une belle citation du philosophe Georges Pernoud qui officie sur France 3 le vendredi soir : "A la prochaine et bon vent".

 

 

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9 octobre 2014 4 09 /10 /octobre /2014 12:46

En France, pour sur, le monopole des pilotes sera sauvegardé. L'harmonisation européenne n'est pas non plus pour aujourd'hui.

Voici l'article de Mer et Marine sur le sujet :

La question était en suspens depuis plusieurs mois, mais le Conseil européen des Transports, qui s’est tenu mercredi 8 octobre, semble avoir avancé sur la question de la libéralisation du service de pilotage portuaire. Le projet de règlement sur les services portuaires prévoit en effet que chaque Etat membre sera libre de choisir s’il souhaite ouvrir le pilotage à la concurrence.

La France, par la voix du secrétaire d’Etat aux Transports Alain Vidalies, a fait savoir qu’elle avait « particlièrement veillé à préserver un haut niveau de sécurité maritime en permettant aux Etats de choisir les modes d’organisation du pilotage dans leurs ports ».

Une déclaration qui laisse supposer que le gouvernement français ne devrait pas remettre en cause l’organisation actuelle. Une position saluée par la Fédération française des pilotes maritimes, très en pointe sur le dossier, qui se dit « raisonnablement optimiste » pour la suite de la procédure d’adoption du règlement. Ce dernier, relevant de la codécision, doit désormais effectuer la navette entre le Parlement européen et le Conseil.

http://www.meretmarine.com/fr/content/le-pilotage-francais-ne-devrait-pas-etre-mis-en-concurrence

 

 

 

 

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 12:43

Aéroport de Roissy la semaine dernière : ai aperçu un homme arborant une magnifique polaire KOTUG. Je ne sais pas s'il avait pleinement conscience qu'il faisait preuve de beaucoup de gout en voyageant ainsi vêtu....je n'ai pas eu le temps de le prendre en photo. Il restera un homme mystère...

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